…Bon, bon, je pensais que, dans une thèse consacrée aux jeux, on pouvait s’amuser un peu, surtout que les occasions vont se faire rares dans la suite de ce texte… Toutefois, cela m’ennuierait beaucoup qu’il y ait le moindre doute sur l’étendue de ma reconnaissance et donc,

 

Je remercie d’abord mon directeur de thèse, Jean-Gabriel Ganascia pour la confiance dont il m’a honoré tout au long de mon travail et pour tout ce qu’il m’a appris.

Pour avoir lu avec passion de nombreux articles de Jean-Paul Delahaye, je savais qu’il ferait un parfait rapporteur pour ma thèse. Je le remercie sincèrement de s’être laissé convaincre alors que, avec un emploi du temps moitié moins rempli que le sien, toute personne raisonnable m’aurait ri au nez. De la même façon, je suis très reconnaissant à Michèle Sebag  d’avoir accepté le rôle de rapporteur malgré un emploi du temps également terriblement chargé. Enfin, il se trouve que pendant ma première année de thèse, j’ai passé six mois à l’U.C.S.D. dans l’équipe de Rik Belew auprès duquel j’ai beaucoup appris. Il a poussé l’hospitalité jusqu’à m’héberger pendant tout mon séjour dans sa  propre maison à 200 mètres de la plage son propre bureau, me permettant ainsi de travailler tous les soirs jusqu’à des heures indécentes à l’université. Merci à lui et à toute sa merveilleuse équipe (famille et étudiants confondus).

Ma profonde reconnaissance va à Jean-François Puget et à Jean-Daniel Zucker pour avoir accepté de participer à mon jury.

De nombreuses autres personnes m’ont aidé dans ce travail, particulièrement l’équipe de recherche ACASA du LIP6 au sein de laquelle je me suis épanoui pendant toute sa durée.

 

Je remercie sincèrement Bruno Heintz, président de la société Mathématiques Appliquées S.A. pour le réel soutien qu’il m’a apporté depuis mon intégration au sein de ses équipes. J’associe à ces remerciements l’ensemble du personnel de la société.

 

Pendant les quatre années de ce travail de recherche, j’ai été formidablement soutenu par tous mes proches. Ma femme, Stéphanie, a contribué massivement à ce travail. M’encourageant  par tous les moyens, elle a notamment donné naissance à Agathe qui, dès ses premiers jours, a participé au travail familial en m’évitant pendant des semaines de m’endormir avant l’aube…

Mon père, Jean-Arcady, auquel la clarté et le contenu de cette thèse doivent beaucoup, est sans doute un des plus soulagés de l’achèvement de ce travail dont il est un artisan majeur depuis maintenant trente ans ! Dans cette tâche, auprès de laquelle les travaux d’Hercule font figure de promenade digestive, il a été néanmoins grandement aidé par le reste de la tribu Meyer (Georgina, Véronique, Alexandre, Karine, Sophie, que je vous veux du bien !..). Mes deux grandes familles (Meyer-Touzin et Georget-Colin) m’ont apporté un soutien constant dont je suis parfaitement conscient (particulièrement en ce qui concerne Ben et Agnès). 

J’ai également des amis (si, si…) : une troisième famille. Personne parmi eux n’est étranger au résultat final : Jean-Pierre et Candice, Alban, Michèle, Jean-Daniel (encore lui…) et Isabelle, Mourad, Dorothée, Pierre-Yves et Anne-Laure, David et Victoire, Bernard, Christophe, Olivier…

 

La liste complète est bien trop longue pour tenir ici, mais je n’oublie personne.